
«Cette édition s’attache à montrer que la musique du monde, plus qu’une esthétique, est l’expression de patrimoines sans cesse réinterrogés. Ils se croisent, s’inspirent, se mêlent, se fertilisent et enfantent de belles créations au gré des rencontres, des voyages, des migrations», souligne Marie-José Justamond, la directrice du festival. Cette année, Beirut entraînera le théâtre antique dans sa mélancolie et son folklore. Des Balkans à la vallée mexicaine d’Oaxaca. Plus loin, les Suds offre une soirée avec Afrocubism, l’union salvatrice d’artistes cubains – dont l’excellent Eliades Ochoa - et de Maliens parmi lesquels le griot Kasse Mady Diabaté.
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